Également appelée « analyse des pratiques », la supervision est à la fois une obligation déontologique et un lieu de formation continue pour les professionnels de l’accompagnement… Recueil d’impressions sur la journée de supervision collective vécue le 18 novembre 2017, à Nantes (44).
→ Valentin, 25 ans, psychologue du travail et coach en libéral (Saint-Sébastien-sur-Loire, 44) :
« La supervision me permet de valider cette idée que c’est en pratiquant que je vais apprendre encore, à partir de ma zone d’inconfort… »
→ Marie, 40 ans, coach (Nantes, 44) :
« Au-delà des informations très intéressantes qu’elle m’a apporté sur mes questions, cette journée de supervision m’a fait du bien en elle-même. »
→ David, 42 ans, coach et consultant chez APOKOPE (Le Bignon, 44) :
« La supervision me permet de prendre du recul, ou plutôt de la hauteur sur ma pratique. Elle m’offre comme une vision en 3 D : j’y revis ou revisite autrement la scène d’un coaching, tout en restant moi-même. Je peux y être à la fois le coach, le coaché, l’observateur, le futur coach qui agira autrement, voire le superviseur. Elle me titille pour m’obliger à mieux regarder ce qui se passe, avec une notion essentielle : celle de qualifier la relation avec le client. »
→ Bastien, 34 ans, consultant (Rezé, 44) :
« Cette journée était parfaitement réglée et les exercices se sont enchaînés de façon très fluide… »
→ Pauline, 53 ans, coach (Bain-de-Bretagne, 35) :
« J’ai le sentiment d’avoir bénéficié d’un truc dont les absents n’ont pas pu profiter et que c’est dommage pour eux ! »