La mouche du coach

Poisson d’avril !

Le premier avril, on réalise parfois qu’on se promène avec un poisson collé dans le dos depuis quelques heures. Une bouffée de gêne ou de honte passagère peut alors nous traverser, selon les enjeux du moment. Dans un second mouvement, on relativise avec un sourire… Et si cette métaphore de la blague d’écolier devenait prétexte à dédramatiser une expérience, à reprendre la main sur une situation contraignante ?

Des poissons d'avril

 

Le texte

« Il te faut le sourire d’un enfant pour pouvoir t’assumer et t’aimer, ou l’humour subtil d’un être humain qui a gardé son cœur d’enfant. Qui se prend trop au sérieux est contraint soit de faire l’important et de se comporter comme un grand personnage, soit de se mépriser en se dévalorisant outre mesure. »

Anselm GRÜN dans Le petit livre du bonheur véritable (Éditions SALVATOR, 2011)

 

Les questions

  • Suis-je actuellement dans une situation qui me paraît difficile ? Y a-t-il quelque chose que je souhaiterais faire évoluer dans ma situation actuelle ?

(Creuser jusqu’à obtenir un élément précis, réel et concret.)

  • Si j’imagine que je suis dans un film, de quoi les spectateurs pourraient-ils rire en le regardant ? Qu’y trouveraint-ils de drôle ou d’insolite ?

 

  • Si quelqu’un devait rire d’un aspect de ma situation, ce serait de quoi ?
  • Ai-je connu d’autres situations similaires dont je ris aujourd’hui ? Qu’en ai-je tiré avec le recul ?
  • Dans ma situation actuelle, que puis-je faire ou dire pour semer moi-même un peu de légèreté autour de moi ?

(Trouver une action inédite, précise, mesurable, accessible, réaliste et respectueuse de mon équilibre de vie. La planifier.)

  • Pour faire/dire cela, je dois être quelqu’un de…

(Compléter la phrase.)

 

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