Le premier avril, on réalise parfois qu’on se promène avec un poisson collé dans le dos depuis quelques heures. Une bouffée de gêne ou de honte passagère peut alors nous traverser, selon les enjeux du moment. Dans un second mouvement, on relativise avec un sourire… Et si cette métaphore de la blague d’écolier devenait prétexte à dédramatiser une expérience, à reprendre la main sur une situation contraignante ?